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La "Commission pour le Dialogue sur les Îles Malvinas au Royaume du Maroc" se réunit à la Résidence Officielle de la République Argentine

Des personnalités d’une grande trajectoire dans des différents domaines au Royaume du Maroc ont participé le jeudi 10 juin à la constitution de la "Commission pour le dialogue sur les Îles Malvinas au Royaume du Maroc". La date de rencontre coïncide avec la Journée de l’affirmation des droits argentins sur les Îles Malvinas (https://www.cultura.gob.ar/por-que-las-islas-malvinas-son-argentinas-9117/).


La réunion, qui s’est tenue à la Résidence Officielle de la République Argentine, s’est déroulée en tenant compte des mesures nécessaires dans le cadre de la pandémie du Covid-19, selon les normes sanitaires locales en la matière.

"Les Commissions pour le Dialogue sur les Îles Malvinas dans les différents pays ont pour objectif de donner de la visibilité à la question, afin de promouvoir le respect des Résolutions des Nations Unies et de reprendre pacifiquement les négociations avec le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord", a déclaré au début de la réunion M. l’Ambassadeur d’Argentine au Royaume du Maroc, Raúl Ignacio Guastavino.

Après une brève présentation de l’Ambassadeur argentin, un échange des opinions fructueuses entre les participants pendant plus d’une heure a eu lieu a sujet des lignes d’action possibles pour promouvoir les objectifs de la Commission.

La position de l’Argentine est fondée sur le respect de son intégrité territoriale, brisée par l’occupation britannique au XIXe siècle et jamais consentie. La Première Clause Transitoire de la Constitution Nationale de l’Argentine établit l’obligation de résoudre le conflit de souveraineté par des moyens pacifiques, en respectant le mode de vie des habitants des Îles.

L’Argentine appelle à la reprise des négociations avec le Royaume-Uni, en répondant à l’appel des Nations Unies et de la communauté internationale pour trouver une solution pacifique au conflit de souveraineté reconnu par l’ONU depuis 1965 et examiné chaque année par la Commission de la Décolonisation depuis 1989.


 

 

 

Updated date: 14/06/2021